Dans cette œuvre, une figure féminine émerge d’un écrin de fleurs, portée par une palette chaude et veloutée. Le regard turquoise, à la fois lointain et présent, capte le spectateur dans une intimité suspendue.
Silence incarné explore la mémoire émotionnelle, la présence invisible de celles qui ressentent sans bruit, qui portent en elles des histoires tues. Les fleurs ne sont pas qu’un ornement : elles sont un langage, une peau nouvelle, un souffle.
Entre douceur et profondeur, cette composition évoque la fragilité de l’âme, mais aussi sa capacité à résister, en silence.